Les jeunes conducteurs présentent un indice de risque d’accident élevé selon les compagnies d’assurance. Ils sont alors tarifés d’une prime dépassant la normale. C’est ce qu’on appelle la surprime. Son coût est souvent important pour certaines personnes. Cependant, des techniques permettent de réduire le coût de la surprime, surtout pour les jeunes conducteurs.
Effectuer une comparaison d’assurance
Il existe des compagnies qui traitent spécialement les jeunes conducteurs. Celles-ci proposent des conditions plus favorables pour ses clients tout en offrant un tarif raisonnable. D’autres excluent même la surprime en vue de permettre à ces jeunes de s’améliorer dans la conduite sans contrainte financière. Pour cela, le mieux est d’user d’un comparateur d’assurance auto. Ce dernier réalise une simulation, des calculs de bénéfice et procure une liste d’assureurs présentant les meilleures offres.
Se remettre à la conduite accompagnée
Il s’agit d’une option par laquelle un chauffeur expérimenté encadre le jeune conducteur au moment de sa conduite. De ce fait, l’organisme d’assurance peut diminuer le délai de la période probatoire jusqu’à deux ans au lieu de trois. Par ailleurs, avec le temps, cette alternative pourrait diviser le montant de la surprime en deux à la dernière année de l’essai du permis de conduire.
Se déclarer en tant que conducteur secondaire
Dans la mesure où le jeune conducteur n’est pas le principal conducteur du véhicule, l’assureur pourrait aller jusqu’à supprimer la surprime. Cette manœuvre est la plus économique, mais elle réduit pourtant la fréquence de conduite. Toutefois, l’apprenti routier doit se soumettre à un encadrement de trois ans minimum pour avoir l’autorisation de circuler sans surprime d’assurance auto.
